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Présence de Ste Madeleine-Sophie

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En 1800, la "Société du Sacré-Coeur" est fondée... et c’est déjà en 1804 que l’Evêque de Poitiers demande à ’Madame Barat’ de poursuivre l’éducation de la jeunesse aux ‘Feuillants’, à Poitiers.

Très tôt, un noviciat sera ouvert pour les sœurs : c’est là que Sr Josefa entrera le 5 février 1920. Peu de mois après son arrivée, Jésus se manifeste à elle.
Plus la mission de Josefa se précisera et plus la Fondatrice visitera Josefa jusqu’à peu de jours avant sa mort…

Au cours de l’année 1921

25 mai 1921

Le mercredi 25 mai, ramène la fête de sainte Madeleine Sophie qui, en 1921, n’était encore que Bienheureuse - elle sera canonisée en 1925. Pour la première fois, Josefa voit intervenir dans sa vie cette Mère fondatrice qu’elle aime d’un coeur si filial. Elle note très simplement cette nouvelle faveur qui ravit et fortifie son âme :
"Aujourd’hui, fête de notre bienheureuse Mère, je passai bien souvent dans sa cellule pour lui dire un petit mot et l’une des fois où j’y entrai, debout, en tablier de travail je lui dis seulement : “ô ma Mère ! de nouveau je vous le demande, rendez-moi très humble, afin que je sois bien votre fille”. Il n’y avait personne dans la cellule, et cette prière s’échappa tout haut de mon cœur quand, soudain, je vis devant moi une Mère inconnue. Elle me saisit la tête entre ses mains et, la serrant avec ferveur, elle me dit :
"Ma fille, dépose toutes tes misères dans le Cœur de Jésus, aime le Cœur de Jésus, repose dans le Cœur de Jésus, sois fidèle au Cœur de Jésus !"
“Je pris sa main pour la baiser. Puis, de ses deux doigts, elle traça le signe de la bénédiction sur mon front et disparut aussitôt.”

24 septembre 1921

La bienheureuse Mère fondatrice vient l’encourager. Elle lui apparaît avec un céleste sourire. En posant sa main sur sa tête, elle lui dit :
"Ma fille, aie beaucoup d’humilité, beaucoup d’obéissance, beaucoup d’amour ! Je garde avec prédilection cette maison de Poitiers".

Au cours de l’année 1922

14 mars 1922 : Dans la cellule de Ste Madeleine-Sophie, après quelques jours de grandes épreuves et de combats.

C’est Madeleine-Sophie qui est l’ambassadrice de Jésus et de sa Miséricorde. _ Le mardi 14 mars, elle lui apparaît dans sa cellule. Elle écoute son humble confession, ranime sa confiance et l’encourage par ces mots :
"N’oublie pas, ma fille, que rien n’arrive qui n’entre dans les Desseins de Dieu."
Josefa lui confie sa peine immense et la douleur qui l’oppresse quand elle mesure les conséquences de sa faiblesse qu’elle croit irréparables.
"Si, ma fille, tu peux réparer si, de cette chute, tu retires beaucoup d’humilité et une grande générosité."
“Je lui demandai si Jésus ne reviendrait plus jamais ? Je Le désire et je L’appelle, car je ne peux penser que je ne le reverrai plus et cela par ma faute !”
Alors, avec une force toute maternelle, Sainte Madeleine-Sophie l’interrompt vivement :
"Si, ma fille, attends-le : le désir et l’attente de l’Épouse sont la gloire de l’Époux".

18 septembre 1922 : Soeur Josefa décrit ainsi Ste Madeleine-Sophie :

"Il n’y avait pas cinq minutes que j’étais là, à genoux dans la porte de la cellule, quand je vis devant moi Notre Bienheureuse Mère. Elle était debout dans le coin gauche de l’autel, les mains croisées à la hauteur de la taille. Sa figure rayonnante de paix avait quelque chose de céleste. Ses yeux très expressifs étaient pleins de joie. J’ai une telle joie de la voir, car je l’aime tant ! ... et chaque fois, elle me laisse une grande paix dans l’âme. Elle me dit :
"Le Cœur de Jésus est bien glorifié dans sa petite Société. C’est pourquoi il veut se servir d’elle pour faire connaître aux âmes de nouvelles merveilles d’amour.
Toi, ma fille, aime beaucoup Notre Seigneur, sois bien humble et laisse-le faire de toi tout ce qu’il veut".

28 septembre 1922 : A la Chapelle des Oeuvres. style='float:right;'>

"Quand Jésus te confie une âme, reste bien petite mais avec grande confiance en sa Miséricorde divine. Le Cœur de Jésus est tout pour l’âme qui ne cherche que lui".

Au cours de l’année 1923

Premier février 1923

Ce jeudi, Sainte Madeleine-Sophie lui apparaît comme une messagère avant-coureuse de paix. Elle la convoque dans la cellule qu’elle sanctifia jadis par sa prière et sa sainteté. Elle lui annonce l’entrée au ciel de cinq de ses filles dont elle lui donne les noms et, consacrant pour ainsi dire sa présence dans ce lieu de bénédiction, elle ajoute :
"Tu ne peux savoir avec quelle joie je vois venir ici mes filles chéries. Du haut du ciel, je les bénis avec une tendresse de mère et je répands sur elles bien des grâces.... Mon désir est que chacune soit pour le Coeur de Jésus un lieu de repos et d’amour".

4 février 1923 : Au prie-Dieu d’adoration.

Ell vient la réconforter par ces mots :
"Ne te lasse pas de souffrir. Les âmes qui souffrent par amour verront de grandes choses, je ne dis pas dans le temps, mais dans l’éternité !"

C’est elle encore qui, le lundi 10 février, après des jours de dures épreuves, lui annonce le retour prochain de Notre Seigneur :
"Que sa paix garde ton cœur, ma fille.... Il va bientôt venir console-le avec grande confiance. N’oublie pas que s’Il est ton Dieu, il est aussi ton Père, et non seulement ton Père, mais encore ton Époux.... Ne crains rien et parle-Lui de tout, car Il est toujours prêt à t’écouter. Il est si bon notre Dieu ! Et son Cœur si compatissant ! ..."

Et comme on est à la veille des Quarante Heures :
"Consolez-le et aimez-le. Que son Cœur se repose parmi vous et que ta petitesse lui sauve beaucoup d’âmes !... "

Puis, appuyant sur la pensée maîtresse de toute sa vie :
"Oui, consolez-le par votre humilité, car là où il y a l’humilité, tout va bien ; mais là où l’humilité manque, tout va de travers".

Et après lui avoir confié ses désirs maternels :
"À Dieu ! Ne refuse rien à ton Dieu."

11 février 1923 : A la Chapelle.

"Oui, ma fille, renouvelle tes vœux. Je vais te bénir afin que la paix de Jésus garde ton cœur.
... Crois-tu que je ne vienne pas ? ... C’est que tu ne me vois pas. Mais bien souvent je suis au milieu de vous
."

8 mai 1923 : Sr Josefa a été envoyée à Marmoutier.
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La bienheureuse Mère Barat la suit aussi de sa protection vigilante, à travers cette maison très chère à son cœur et dont elle connut toutes les pierres. Sa cellule, transformée en oratoire, couronne le « portail de la Crosse » et ses filles y recourent souvent à son intercession maternelle, Josefa en connaît vite le chemin.
Au matin du mardi 8 mai, elle y court dans un moment de liberté : « Je ne savais que devenir entre les visites de Jésus... Les questions que l’on me pose sur les raisons de ma venue, si je suis malade... si je resterai ici ?... etc.... Je lui demandais de m’aider quand soudain, elle a paru :
"Te voilà donc ici ma fille ! "
Elle est si bonne, que Josefa s’épanche avec elle en toute confiance et la sainte Mère continue :
"Je ne te dirai qu’un mot pour que tu puisses le savourer tout le long du jour : l’amour ne trouve jamais d’obstacles et, s’il en rencontre, il les transforme en moyens pour alimenter la flamme.... Ici, ma fille, sois à ton devoir. Aime, aime, aime !"

28 mai 1923 : Fête de la Bienheureuse Fondatrice. Confidences.

Ce jour, Josefa implore sa compassion maternelle à la vue toujours grandissante de sa petitesse et de sa misère, et la Bienheureuse Mère ne résiste pas à cet appel d’humble confiance. Elle lui apparaît à la chapelle et, traçant sur son front le signe de la croix, elle lui dit :
"Ma fille chérie ! C’est ainsi que je t’aime, petite et misérable.... Moi aussi, j’étais petite comme toi, mais j’ai trouvé le moyen d’utiliser ma petitesse en la donnant totalement à Jésus qui, lui, est grand ! Je me suis abandonnée à sa divine volonté et je n’ai cherché que la gloire de son Cœur. J’ai essayé de vivre dans la connaissance de ma bassesse et de mon néant, et lui, s’est chargé de tout.
Ma fille, vis de paix et de confiance. Sois bien humble et abandonne-toi à ce Cœur qui est tout amour !"

10 juin 1923 : Veille du jour où Jésus va confier son Message au monde

Une grande leçon d’amour servira de conclusion aux grâces de cette huitaine et c’est sainte Madeleine-Sophie qui la donne à sa fille en lui rappelant et en lui commentant, au matin du dimanche 10 juin, le mot d’ordre donné à Marmoutier : “L’amour ne trouve pas d’obstacle”. Elle lui apparaît pendant la messe et, la bénissant, elle lui dit aussitôt :
"Ma fille, je viens te dire aujourd’hui comment tu dois aimer sans que rien ne s’oppose en toi au véritable amour :
La base fondamentale de l’amour, c’est l’humilité ; car il est souvent nécessaire, pour prouver notre amour de soumettre et de sacrifier notre attrait personnel, notre bien-être, notre amour-propre... et cet acte de soumission n’est autre qu’un acte d’humilité qui est à la fois, abnégation et renoncement, générosité et adoration. De fait, pour prouver cet amour en quelque chose qui nous coûte, nous avons dû premièrement penser ainsi : si ce n’était pas pour vous, mon Dieu, je ne le ferais pas. Mais c’est pour vous, je ne puis vous résister, je vous aime et je me soumets. C’est mon Dieu qui me le demande, je dois lui obéir. Je ne sais pourquoi il me demande cela, mais lui le sait. Et ainsi, à cause de l’amour, nous nous humilions, nous nous soumettons à faire même ce que nous ne comprenons pas, ce que nous n’aimons pas, sinon d’un amour surnaturel et uniquement parce que Dieu nous le demande.
Ma fille, aime, et les obstacles et les difficultés qui se présentent, convertis-les en amour humble et sacrifié, fort et généreux. Qu’ils deviennent une perpétuelle adoration de l’unique Dieu et Seigneur qui est le Maître des âmes. Ne résiste jamais, ne discute pas, n’hésite pas. Fais ce qu’il te demande. Dis ce qu’il veut que tu dises, sans craindre, sans omettre, sans vaciller. Il est le Sage et le Saint. Il est le Maître et le Seigneur, Il est l’Amour. Adieu, ma fille !"

16 juillet 1923 : Anniversaire des premiers Vœux de Josefa.

Ce jour de joie, Jésus et Marie n’ont pas manqué de visiter Josefa… mais le soir lui apporte encore une nouvelle grâce :
"J’étais, vers sept heures, dans l’oratoire de notre bienheureuse Mère Fondatrice, quand soudain, je la vis, toujours si simple et si humble ; je n’avais pas même achevé de renouveler mes Voeux, qu’elle me dit :
"Ma fille, un an déjà que tu les as faits ! "

Josefa, dont la confiance envers cette Mère est sans égale, lui expose à la fois, et son bonheur d’être pour toujours à Notre-Seigneur, et sa peine de ce qu’elle appelle ses ingratitudes, si nombreuses !
"Mais tu sais bien, ma fille, que ce Coeur est un Feu ! Et que ce Feu n’est que pour consumer nos misères. Dès que tu les lui abandonnes, Jésus ne s’en souvient plus. Et si, en échange, Il t’a déjà accordé tant de grâces, Il est prêt à t’en faire beaucoup plus encore. Son Coeur est une source inépuisable : Plus il donne, plus il désire donner. Plus Il pardonne, plus Il désire pardonner !"
Et comme elle lui redit toutes ses promesses d’être fidèle jusqu’à la mort qu’elle sait si proche, sa bienheureuse Mère l’écoute et l’encourage :
"Crois-moi, ma fille, Jésus ne se souvient plus de tes misères ni de tes résistances. Mais Il a toujours présents tes bons désirs pour s’y complaire. Son Coeur est un abîme de Miséricorde qui ne s’épuise jamais en pardonnant. Il est aussi un abîme de richesse qui ne s’épuise jamais en donnant ! Aime-le autant que tu peux. Il n’en demande pas davantage. Reconnais bien ta petitesse et reste soumise et abandonnée à sa volonté.
Laisse-le se reposer en toi et te reposer en lui. Quand tu reçois ses grâces, c’est toi qui reposes en lui. Quand il t’éprouve d’une manière ou d’une autre, c’est lui qui se repose en toi.
Rends-Lui grâce autant qu’il t’est possible, de la faveur singulière qu’Il t’a faite en te choisissant pour Épouse de son Cœur... Adieu, sois bien généreuse et bien humble. N’oublie pas que tu n’es rien. Seule, sa Miséricorde peut t’aimer ainsi, malgré ta misère. Mais confiance ! Et puisque tu ne peux rien, laisse-toi conduire. Vis dans la reconnaissance, la paix et l’amour. Adieu ma fille."

" Elle m’a donné sa bénédiction et j’ai baisé sa main, puis elle a disparu. "

15 octobre 1923 : Au cours de son bref passage à Rome

Alors qu’elle passe devant l’oratoire de sainte Madeleine-Sophie, Josefa s’entend appeler par une voix bien connue. Toujours craintive, elle fuit d’abord, mais la Sainte Fondatrice l’attire dans la confiance et dans la paix :
"Je suis ta Mère !
Je te dirai seulement que, durant ma vie, je n’ai cherché autre chose que la gloire du Cœur divin. Et maintenant que je vis en lui et de lui, l’accroissement de son règne est plus que jamais mon unique désir.
C’est pourquoi, je demande que cette petite Société soit, pour beaucoup d’âmes, le moyen de Le connaître et de L’aimer de plus en plus.
Ne crains rien ! Si le démon cherche à lui nuire, c’est qu’elle est l’objet des prédilections du Cœur Sacré de Jésus. Mais ce divin Maître ne permettra pas qu’elle tombe dans les pièges que lui tend son ennemi.
Va, ma fille, va à ton travail, je te bénis."

19 octobre 1923 : Dans la Chapelle de la Maison-Mère

Le séjour à Rome touche à sa fin -Josefa a accompagné sa supérieure : Mère de Lescure, selon le désir de la Supérieure Générale qui souhaitait faire sa connaissance- Notre-Seigneur y a réalisé son plan. La sainte Fondatrice rappelle une fois de plus à sa fille le rôle de la croix dans ‘l’Oeuvre’ qui va s’achever :
"Ne crains rien, c’est lui qui a toujours gouverné et dirigé cette petite Société. Mais parfois, il est plus difficile de reconnaître son Action. La foi manque au monde et Jésus veut que ses Épouses réparent ce manque de foi par leurs actes de confiance. Ne crains rien et ne t’inquiète pas si tu n’as pas la lumière, Jésus la donnera peu à peu. Il fera que tout s’accomplisse selon ses desseins.
Pour toi, il te suffit d’obéir et de t’abandonner. Oui, sans doute, il y a des moments d’obscurité ; c’est sa Croix qui se dresse devant nous et nous empêche de le voir. Mais lui-même nous dit alors :

« Ne craignez pas, c’est Moi ! »

"Oui, c’est lui, et c’est lui qui guidera et achèvera son Œuvre jusqu’à la fin. Ne crains rien, sois fidèle et reste dans la paix."

3 décembre 1923 : De retour à Poitiers.

Les dernières lignes du Message divin vont tout d’abord s’inscrire durant la première semaine de décembre et, dès le lundi 3, sainte Madeleine-Sophie prépare sa fille à cet achèvement de sa mission.
"Viens à ma cellule, je suis ta Mère, la pauvre créature dont le Seigneur a daigné faire la première pierre de cette petite Société !"
Et après cette affirmation qui pacifie l’âme de son enfant, elle poursuit :
"Jésus va venir ! Attends-le avec grande humilité, mais aussi dans la joie et la confiance. Il est le Père de Miséricorde toujours disposé à répandre sa bonté sur toutes ses créatures, mais surtout sur celles qui sont les plus petites et les plus misérables. Reçois ses désirs, ses recommandations, ses paroles avec un grand respect et que la Société les garde précieusement."

10 décembre : Josefa sait qu’elle mourra bientôt.

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Dans un moment de plus intense souffrance, Josefa qui est seule, sent ses forces la trahir et la vie lui échapper. Elle n’a plus de voix pour appeler à l’aide ; mais le ciel veille : Sainte Madeleine-Sophie lui apparaît soudain, plus Mère que jamais et, la prenant dans ses bras, elle-même la soutient et la réconforte. Puis, lui découvrant quelque chose du plan de Notre-Seigneur :
"Non ! Tu ne mourras pas le 12, mais c’est Jésus qui viendra à toi pour t’unir à lui par les liens les plus étroits, et cela pour l’éternité !"
Alors, la Sainte Mère précise à son enfant qu’elle recevra l’Extrême-Onction et fera sa profession religieuse en ce jour béni.
Je viens te le dire de sa part"

Josefa devra s’y préparer dans l’allégresse.
"C’est Jésus qui fait ainsi le chemin et si difficile que cela semble aux créatures, il ordonne tout de la manière qui convient le mieux à ses Desseins."
Et, répondant à la question de sa fille :
"Oui, je viendrai avec la Très Sainte Vierge et Jésus qui ne te laisse jamais seule.... Tous trois nous serons là.... Courage ! Encore quelques jours à passer sur la terre pour mériter la Patrie céleste. Repose en paix, car je veille sur toi."

12 décembre : Josefa reçoit l’Extrême-Onction et fait sa Profession perpétuelle.

L’Evêque, Mgr de Durfort, commence les prières de l’Extrême-onction. Mais déjà tout s’est effacé au regard de la malade : la Très Sainte Vierge et sa Mère Fondatrice soudain lui apparaissent. Et, tandis que les onctions se poursuivent et qu’elle est présente à tous les rites du Sacrement, elle ne voit plus que ses Mères du ciel la revêtir d’une blanche tunique que des anges ont déposée en leurs mains.
"Vois, ma fille, ce que le Seigneur, dans sa Miséricorde infinie, a fait pour sa petite Épouse, non à cause de tes mérites, mais grâce à ceux de son Coeur."
La Très Sainte Vierge poursuit :
"Et maintenant que tu es revêtue de cette tunique très pure, ton Époux va te donner le baiser de la paix et de l’Amour. livre-toi bien à lui ; dans ses mains divines, tu es en sécurité. C’est lui qui t’accompagnera pour te conduire à l’Éternelle Patrie et c’est lui qui te présentera aux habitants du ciel ! »

Vierge du XVème siècle à St Thibault-Joigny où Sophie Barat a été baptisée
  • 15 décembre 1923 : Dernière visite de Ste Madeleine-Sophie.

Vers 10 heures, la sainte Fondatrice du Sacré-Cœur lui apparaît.
Quoique bien péniblement, Josefa écrit encore sous sa dictée ses dernières recommandations qui s’achèvent par ces mots :

"Que tous les membres de cette chère Société vivent unies à ce Cœur qui s’est donné à elles par Amour. Qu’elles travaillent sans repos et n’oublient jamais qu’elles sont épouses et victimes.
Maintenant une âme de plus protégera la Société de la terre, car les humbles et les petits trouvent grâce devant Dieu."

Extraits de "Un Appel à l’Amour"

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